Onze participants sont sur cette photo réalisée par Cédric : pour une fois Christian est en premier plan !

Sur cette vue André est visible !

Ludovic présente ses acquisitions « bonnes affaires ». Citroën H + Citroën DS : achetés en lot à 9,90 € chez le buraliste. De la marque Hachette, le Citroën H devrait être chargé sur un wagon porte auto. La DS sera équipée de vélos sur le toit et utilisée comme véhicule de course cycliste.

Acheté en bourse pour 10 € de la marque Altaya, Ludovic hésite entre le motoriser ou le laisser en véhicule tracté.

Patrick montre deux engins britanniques, ce qui n'étonne pas les habitués.

D'abord le locotracteur Ruston et Hornsby 48DS. La période d'utilisation de 1982 à 1994 pour ce petit locotracteur à cabine fermée.
Locomotive de manœuvre industrielle.

Modèle pré-équipé DCC 18 broches.

Il existe aussi avec cabine ouverte pour la période d'utilisation de 1948 à 1971. Prix 170 euros.

Wickham trolley

Ce matériel fut construit par Wickham of Ware. Il sortit d'usine en 1948 pour les chemins de fer nigérians d'Appa. En 1949, British Rail (région Ouest) reçoit ses premiers trolleybus Type 27A équipés de modestes moteurs Ford de 10 ch.
Il circula sur l'ensemble du réseau jusqu'au milieu des années 1990. Toutes les draisines de ce type achetées par le privé réintègrent le réseau BR.

Leur avantage : pouvoir être soulevés et tournés manuellement sur la voie grâce à une petite plaque tournante portable.

Souvent abrités dans des petits hangars près des voies ou en stationnement sur les voies de garage.

Pouvant transporter un équipage de huit personnes, conducteur compris, et tracter quelques petits wagons, ces trolleybus devinrent un atout précieux pour de nombreux chemins de fer, étant moins coûteux à exploiter que la plupart des autres véhicules de voie.

Le modèle en zéro est pré-équipé DCC.  

André a sorti de son sac ce wagon pour charges lourdes SNCF, date de révision 1962, de chez CHREZO, série spéciale de LENZ, acheté à la récente expo de Bourges.
https://www.chrezo.com/product-page/wagon-pour-charges-lourdes-sncf-spywv-98772

Le char qui est placé sur le wagon est un modèle SOLIDO, trouvé pour quelques € sur une brocante, modèle Léopard 1, utilisé par l'armée belge, depuis 1968.
Il doit être traité au 1/50, mais, dit André, ça m'arrange, il se cale mieux sur le wagon ! 

Ce petit wagon gris est en 0 métrique, d'origine inconnue (Mougel ?? locodiffusion ?? Gécomodel ??) trouvé sur une annonce du forum, et destiné à évoquer un wagon vicinal belge (SNCV) sur son nouveau réseau...

kit découpe laser, fait par un ami d'André, pour la gare de Mont-sur-Marchienne Zone-Etat. (Photo d'André).

Carte postale ancienne qui représente la gare.

Jean-Pierre Wahl expose deux wagons à patine différente. La citerne à produits chimiques de marque Brawa (avec marquages EVA à l' origine).
Création du fichier et pose des marquages UGILOR par ses soins. Confection des décalques par un artisan.
Patine avec terres à  décor et peintures Valejo. Finition avec vernis mat VMS.

Citerne à pulvérulents. Modèle laiton livré monté de marque Train Modele.
Patine avec terres à décor et peintures Valejo. Finition avec vernis mat VMS.

Le wagon Brawa est au 1/45 et celui de Train Modele est au 1/43,5

Autre vue des patines.

Jean-Philippe a acquis cette belle décoration du céréalier produit par Rail 43.

Version époque III (supports de lanternes mâles), au 1/43,5.

Jolie finition des extrémités.

Michel a présenté des constructions de kits qu'il a montés et décorés. Voici la version STEF du couvert OCEM vendu par le Cercle à ses membres.

Et ici du couvert KKw, modèle sorti en premier par le Cercle, avant le STEF (qui comporte comme le vrai de légères modifications).
Remarques de Michel : montés avec quelques turpitudes pour le collage des profiles laiton. Pour les amateurs désirant monter ces wagons, surtout ne pas diluer l'Araldite à l'alcool. Cela ne tient pas.

Y2400 de DJFR. Montage sans problème mais long nous écrit Michel.

Ce petit diésel U60 est aussi un kit du Cercle réservé à ses adhérents. Commentaire de Michel : montage classique sans surprise...avec un peu de patience ! 

Pour ces quatre modèles Michel a utilisé la peinture nitro-synthétique RailColor de AMF 87.

Philippe offre à nos regards cette 4-1200. Elle a fait l'objet de travaux et de soins qu'il nous décrit...

Cette machine est le résultat de la transformation d’une 141TC METROP SNCF en une 4.1200 NORD. Au départ, j’ai acheté cette machine qui était endommagée.

Une bielle de distribution Cossart était cassée et l’abri de conduite était enfoncé du côté gauche. Il m’a donc fallu refaire quelques bielles (j’en ai retrouvé une recollée à l’Araldite) et transformer la loco en version Nord.

Ce qui signifie : modification du toit de la cabine de conduite et création de nouveaux aérateurs, modifier l’arrière de la soute à charbon, et surtout réaliser les bonbonnes du réchauffeur qui se situe de part et d’autre de la cheminée ainsi que les tuyaux qui correspondent.

Pour le choix de la couleur, bien entendu la couleur chocolat Nord que l’on trouve sur une production helvétique est fausse. J’avais lu un article réalisé par une personne ayant vu de ses propres yeux les premières 4.1200 en service, il les décrivait vertes. J’en ai parlé avec Jean-Claude Ragot qui m’a confirmé le choix de cette couleur, qui à l’usage tendait vers le noir.

Les lettrages ont été réalisés au Robocut sur de l’adhésif.
Avant remontage un décodeur a été monté, mais le moteur grogne légèrement… C’est une machine qui date un peu.

Texte de Pierre Miguel :
Plat à ranchers Guillermet acheté sur le Forum du Cercle. Dépourvu d’immatriculation, il a été attribué à toutes les compagnies, après 1921, et a même survécu jusqu'à la SNCF. Il demande à être immatriculé, ce qui ne devrait pas tarder. à noter que le wagon dispose de deux types de ranchers de hauteurs différentes. 

Camion Peugeot type 1525 
Construits en 1917 pour l’Armée Française et utilisés ensuite dans le civil.
Le camion type 1525, produit pour la première fois en 1917, était équipé d'un moteur 4 cylindres de 4 712 cm³ développant une puissance maximale annoncée de 22 ch. La vitesse maximale annoncée était de 30 km/h. Le moteur monté à l'avant entraînait les roues arrière via une boîte de vitesses à quatre rapports et un arbre de transmission rotatif en acier. Le camion était équipé de roues en acier, doublées à l'arrière, et chaussées de pneus pleins. La charge utile maximale était estimée à 4 tonnes. 
Entre 1917 et 1920, Peugeot a produit 4 084 camions Type 1525.
Ici c'est une miniature Esdo en résine au 1/43 (disponible en kit ou tout monté - série très limitée). Livré avec une caisse Peugeot utilisable à l’arrière du camion ou sur un wagon. Esdo pense pouvoir fournir des caisses indépendantes.

Photos de Christian TOURSEL