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 59-62Nord
 Pas de Calais
 
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 Section Régionale Picardie-Nord-Pas de Calais 
  
Page 52  Réunion du 27 janvier 2019. 
  
Présents : 
François Bozon ; Bernard Cornet ; Damien Debril ; Eddy Derenette ; Francis 
Dupire ; Christian et Remy Loonis ; Pierre Miguel ; Sandra et Ludovic Monfet ; 
Patrick Smagghe ; Philippe Touron ; Christian Toursel ; Michel Valaeris ; 
Passage de Cédric Daeye qui représente le RMC59. Soit 13 membres du Cercle et 
deux invités.Excusés : 
Gilbert et Marijo Fournier ; Jacky Noël qui a quitté la région ; Daniel Voilqué.
   
Dès avant 9h30 c'est 
l'accueil : Patrick a financé le café et Sandra a apporté le lait, on discute à 
bâtons rompus le temps d'échanger les vœux et de nous installer. Les premières 
boîtes sont ouvertes et les modèles exposés. Comme il apparait que près de la 
moitié des participants ne sera pas là cet après midi. L'ordre du  jour est 
adapté en conséquence. 
Début 
de réunion à 9 h 45.   
1) Présentation 
des infos "nationales" par Patrick. 
Expos avec CDZ 
: 
Le Cercle sera accueilli 
par LR Presse à TrainsMania sur un stand de 4 m x 4 m. Le concours de dioramas 
du Cercle est intégré à celui de LocoRevue. 
Oignies fin août et 
Flandrail à Coudekerque Branche début octobre. D'autres ailleurs comme Sedan, 
Meursault. 
AG samedi 16 mars 
à Plan-de-Cuques (13). 
Le dimanche une visite de réseaux est proposée.  
Projets : Le U60 
est livré et un fil sur le montage est ouvert sur le forum. 
Autres projets :
 
        - Le wagon 
OCEM STEF en kit complet sera fait, à partir du couvert OCEM dèjà réalisé, nous 
sommes en recherche des fournisseurs. (Christian RAULT). 
        - Un petit 
diesel Berliet (Jean-Pol LECRIVAIN) est en préparation. Motorisation à chaîne 
comme en réalité. SNCF (PLM) et privé. Assise 3 points. 
Quai Zéro 
non possible à Grande-Synthe, contacts sollicités auprès de deux autres communes...
 
Réorientation de 
l'expo vers "montrer ce que l'on peut faire sur de petites surfaces". Un grand 
réseau sera retenu, et des ateliers participatifs plus nombreux. 
Dates si possible 
avant les 23/24 mai 2020. 
Chrezo a publié 
sa publicité 140 C réservée aux membres du CDZ 
dans le Bulletin et 
une dizaine de membres ont répondu positivement à Patrick. Le nombre total des 
commandes aurait atteint les 400. 
Concours de 
modèles FFMF de 2019 : 
Lancer de nouveau un appel à la présentation de modèles dans ce concours qui 
permet de montrer et de faire parler de l’échelle Zéro et de donner envie… 
  
2) Matériel neuf 
ou racheté présenté (voir photos) 
Pierre propose des 
poteaux kilométriques type Nord. Deux exemplaires (nylon et bronze) sont 
montrés. Possibilité de tirages portant des chiffes différents. Centraliser les 
demandes vers Patrick. 
Christian 
montre les leviers d'aiguille SAXBY de chez Shapeways (3D). 
Patrick ouvre une boîte DAPOL contenant 
une Fowler 3F "Jinty". Elle sera digitalisée  (décodeur 21MTC Zimo, non 
disponible actuellement en France) et francisée. Elle sera immatriculée 030 TW. 
Francis livre à nos regards une très 
belle 151 TQ... 
François pose les 
voitures 3 pattes LENZ en version SNCF et 
montre une 232 TC de toute 
beauté. 
Pierre sort des 
wagons couverts Nord Maquette Service, des voitures Elettren CIWL et PLM, des 
rapides Nord Guillermet 
  
3) Matériel 
construit, transformé.(voir photos) 
Ludovic montre une 
voiture à deux essieux Rivarossi modifiée et repeinte, et son kit de 
locotracteur Y 2400 DJFR dont le montage est bien avancé. 
Francis place sur la voie une 151 TQ 
(kit JCR) montée par un spécialiste (qui conserve l'anonymat). La machine est 
digitalisée et patinée. 
Philippe expose
une 231 E MTH et des voitures Nord 1 Cl et mixte 1/2 Cl. 
Christian présente
deux wagons porte conteneurs citernes SCHENK, à partir d'un kit HaxoModele. 
Pierre offre à nos regards un diorama 
format A4 qu'il présentera lors de TrainsMania début mai. 
  
Fin de réunion à 
17 h 15. 
  
Prochaine réunion : dimanche 
7 avril, à Coudekerque-Branche.   Rappel : les lignes qui 
précèdent ne constituent pas le compte rendu officiel de la réunion.Nous publions un survol des éléments qui permettent de se rendre 
compte de l'activité du Cercle et de la section régionale, et ainsi d'inviter 
les personnes intéressées à nous rejoindre. Remerciements particuliers à 
François Bozon, Pierre Miguel et Philippe Touron pour les légendes des photos de 
leur matériel.
 Les fins 
observateurs pourront admirer les patines subtiles de la 232 TC, de la 151 TQ, 
de la 231 E et des deux wagons plats transports de containers citernes.   
44 photos pour avoir un aperçu de 
notre journée, admirer et mieux voir les détails du matériel.   
			
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				La réunion est bien avancée, questions et réponses à partir des 
				infos de première main apportées par Patrick. |  
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				 Le diorama qui est utilisé pour photographier le matériel 
				roulant a fêté ses 20 ans ! Les premiers modèles ont été posés, 
				et l'appareil va fonctionner longtemps...
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				 Une voiture type « boîte à 
				tonnerre » de Rivarossi retouchée et repeinte par Ludovic. On 
				trouve d’occasion du matériel de cette marque à l’échelle Zéro, 
				à des prix très abordables.
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				 Toujours de Ludovic qui passe du plastique au soudage du 
				maillechort et du laiton,
				le kit de locotracteur Y 2400 de DJFR en cours de montage. C’est le premier kit 
				laiton/maillechort monté par Ludovic et le résultat est fort 
				encourageant ! Certes le kit est bien étudié, mais la 
				réalisation demande toujours soin et patience !
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				 Patrick ouvre une boîte DAPOL contenant 
une Fowler 3F "Jinty" qui sera digitalisée  (décodeur 21MTC Zimo, non 
disponible actuellement en France) et francisée. Elle sera immatriculée 030 TW. 
				Et toujours au prix du matériel britannique...
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				C'est Francis qui nous permet d'admirer cette magnifique 151 TQ. 
				C'est un kit JCR digitalisé et patiné. Modèle monté par une 
				personne compétente dont le nom ne sera pas divulgué. La patine 
				est très légère ainsi qu'il le faut car ces machines étaient 
				parfaitement entretenues par l'équipe de conduite. |  
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				 Le gros plan permet d'apprécier les voiles transparents de 
				rouille.
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					La 231 E NORD fait partie de la 
					première série fabriquée par MTH. Un long article, publié 
					sur les deux numéros 98 et 99 du Bulletin du Cercle décrit 
					les travaux rapidement retracés ci-dessous. Les 
					transformations consistent en un démontage complet, 
					changement de décodeur par un Zimo, réalisation de prises de 
					courant au niveau des roues des bogies du tender, 
					réalisation d’une barre d’attelage loco-tender plus courte 
					que celle d'origine, changement de la pompe ACFI et des 
					lanternes par des pièces KIT-ZERO, suppression du TIA qui 
					n’existe pas à cette époque, peinture totale, réalisation 
					des filets au tire-ligne, changement des marquages et enfin 
					patine. |  
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					Les voitures RAPIDE NORD sont des 
					GUILLERMET, artisan bien connu des modélistes des années 70 
					(du 20ème siècle). Elles ont été totalement 
					démontées, réalisation des renforts de châssis, pose de 
					coffres et de dynamos sous le châssis. L’intérieur a reçu 
					une décoration aux couleurs époque III, les personnages du 
					commerce ont été modifiés et repeints, avant d’être collés 
					en place, les baies vitrées retravaillées avec ajout de 
					stores. Les marchepieds ont été refaits ainsi que la ligne 
					de toiture avec aérateurs conformes, les soufflets sont 
					remplacés ainsi que les tampons et quelques pièces issues du 
					catalogue KIT-ZERO complètent les traverses. Après peinture 
					totale aux couleurs du NORD époque III, les marquages sont 
					réalisés au CRAFT-ROBO  la patine est menée à l’aérographe 
					et aux terres à décor. |  
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				Les 2 types de voitures prussiennes à 
				savoir la C3 Pr 11 et la B3 Pr 10a ici présentées en version 
				SNCF (B5 tf et C6 tf) ont la décoration d’avant 1956 avec toit 
				et bouts noirs, sont équipées de l’éclairage électrique et ont 
				le lanterneau vitré d’origine. Si ces voitures sont censées être 
				de (rares) prises de guerre 1945, elles pourront rouler telles 
				quelles, sinon le montage de tampons SNCF/OCEM  sera le bienvenu 
				pour les nombreuses voitures reçues en 1919 au titre de 
				l’Armistice. à 
				noter que des plaques d’itinéraires vierges mais magnétisées 
				sont fournies avec le modèle.  |  
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				Après la voiture prussienne B3 Pr 10a 
				présentée en version DB post 1956 à la dernière réunion, voici 
				la voiture prussienne C3 Pr 11 avec guérite (en version SNCF) 
				qui représente l’archétype de cette grande série de voitures à 
				portières latérales lancée dans la 2ème décennie du 
				siècle précédent. Ce sont donc des voitures récentes qui sont 
				reçues en grand nombre (environ 700 exemplaires ?) en 1919 au 
				titre de l’Armistice, ces voitures prussiennes 3 essieux  à 
				portières latérales rouleront sur tous les réseaux avant d’être 
				regroupées sur les Régions Nord et Est de la SNCF où elles 
				achèvent leur carrière commerciale en 1962 ! La C3 pr 11 est 
				équipée  de l’éclairage électrique et  son lanterneau n’a pas 
				été tôlé. Si la plupart des voitures SNCF et DB eurent leur 
				lanterneau tôlé dans la période d’après-guerre avec un seul 
				aérateur conservé au niveau des toilettes, il existe des photos 
				de voitures ayant conservé toutes les baies vitrées et les 
				aérateurs sur leur lanterneau. |  
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				Le fourgon Pw3 Pr 11 présenté en 
				version SNCF est le complément logique des voitures prussiennes 
				3 essieux à portières latérales. L’organisation du compartiment 
				chef de train est assez proche de celle du fourgon marchandises 
				Pwg 14, en revanche la partie accessible par la grande porte 
				coulissante de ce fourgon affecté au service commercial n’est 
				pas un compartiment de service mais est destinée au transport 
				des bagages des voyageurs.  |  
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				La main courante du modèle est comme 
				en réalité constitué de 2 éléments de diamètres différents, la 
				main courante de la porte coulisse sur celle de la paroi, 
				assurant ainsi une solution de continuité et donc une sécurité 
				maximale pour les agents devant se déplacer sur les marchepieds. 
				Comme pour les voitures à portières latérales, la suspension 3 
				points et l’essieu central à déplacement latéral permettent de 
				négocier les courbes les plus serrées soit le rayon R1 de Lenz 
				(914 mm soit 3 pieds ou 36 pouces !). La voie Lenz utilisant à 
				l’origine du profilé américain Atlas, les dimensions en mm sont 
				la traduction  des mesures en pouces.  |  
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				La 232 TC 423 Lematec issue de 
				l’adaptation d’une BR 78 Kiss est la seule version fidèle de 232 
				TC SNCF (ex T18 AL) connue à ce jour. La 232 TC sortie par 
				Fulgurex il y a presque 40 ans avec entre autres choses une 
				mécanique exceptionnelle n’est en revanche qu’une T18  telle que 
				construite pour les chemins de fer prussiens (KPEV) et alsaciens 
				(EL), la version SNCF ayant seulement bénéficié d’une livrée 
				verte et noire SNCF sans présenter aucune des modifications 
				intervenues dans les années 1940. 
				La chaudière de la 232 TC Lematec est la chaudière d’origine 
				KPEV/EL avec une grosse sablière ronde derrière le dôme à 
				vapeur, tout comme sa cousine 230 de vitesse compound à 4 
				cylindres et distribution de Glehn, type S10.1 de 1911, 
				reconnaissable à la disposition décalée des cylindres et à la 
				traverse de traction haute.  Du côté du chauffeur, la 232 TC est 
				dotée d’un réservoir TIA posé sur le dessus la soute à eau et à 
				l’avant, la pompe alimentaire du réchauffeur est la pompe Knorr 
				d’origine.  |  
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				La 232 TC 423 Lematec présente une 
				rehausse de hotte à charbon mécano-soudée avec renforts 
				verticaux rivetés spécifiques aux machines SNCF. Elle est en 
				effet d’un seul tenant depuis le panneau horizontal de la soute 
				et intégralement inclinée vers l’arrière alors que les diverses 
				hottes (en métal ou en bois) ajoutées par les chemins de fer  
				allemands ne font que compléter la demi hotte KPEV sans aucune 
				solution de continuité esthétique. Sur le toit de l’abri, le 
				gros cabochon rond de protection de la lampe d’abri a disparu 
				(victime d’une récupération de matériaux non ferreux ?) pour 
				laisser apparaître la seule cheminée de la lampe et une trappe 
				supplémentaire (en planches de bois !) a été ajoutée à l’arrière 
				du toit de l’abri pour le chargement des briquettes. |  
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				Cette vue montre que la 232 TC a non 
				seulement conservé sa pompe de frein Knorr d’origine mais 
				surtout la cloche à vapeur sur le haut de la chaudière, afin de 
				se signaler sur les lignes en accotement des routes et les 
				traversées de village dans la rue principale.  On voit par 
				ailleurs parfaitement l’inclinaison vers l’arrière de la soute à 
				charbon SNCF. |  
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				Sur cette autre vue côté mécanicien, 
				on voit l’arbre de relevage de la distribution en arrière de la 
				pompe de frein Knorr, la cloche à vapeur sur le sommet de la 
				chaudière et le réchauffeur Knorr devant la boite à fumée, avec 
				pour finir la traverse de traction équipée de tampons OCEM/SNCF 
				à plateaux rectangulaires dans la grande tradition de la région 
				Est ! |  
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				La 232 TC 423 Lematec présente sur le 
				platelage devant la boite à fumée le réchauffeur (cylindrique) 
				Knorr enfermé dans un carter de protection avec décrochement 
				permettant l’ouverture de la porte de BAF, ce réchauffeur ayant 
				été monté aux ateliers DRG de Kalrsruhe en pleine guerre, en 
				remplacement du réchauffeur  plat Vulkan dont était dotée à 
				l’origine les T18. Les lanternes sont des lanternes SNCF en 
				remplacement des grandes lanternes KPEV/AL. Au sommet de la 
				boite à fumée se trouvent des porte-lanternes additionnels SNCF 
				montés après-guerre pour se conformer à la disposition imposée 
				par le règlement SNCF de 1941 sur l’éclairage qui s’applique 
				jusqu’en 1958. |  
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				PK 43 : 
				
				dessiné pour QUAI ZERO 2018 par Romain Lecomte du club AMAL à 
				Amiens, un PK typiquement NORD numéroté 43. Il fallait bien 
				choisir un numéro et 43 pour du ZERO semblait indiqué. Romain 
				n’ayant pas réussi à imprimer le PK dont certaines épaisseurs 
				sont fort minces (mais tout est rigoureusement à l’échelle !) 
				appel a été fait à la société SCULPTEO pour faire un tirage en 
				bronze, poli, après tirage en cire perdue. Un second tirage en 
				nylon a également été réalisé au tiers du prix de celui en 
				bronze. Les dessins ont été réalisés par Romain d’après les 
				croquis et photos fournis par Christian à partir de la 
				collection du RMC 59 qui en possède quelques exemplaire à 
				l’échelle 1, et de reportages "in situ". Il s’agissait d’une 
				première. Un autre PK célèbre sur la Ligne Amiens-Boulogne est 
				le 231. Il a été envisagé très sérieusement de le reproduire, 
				ainsi qu’un PK vierge afin de pouvoir coller le numéro que 
				souhaitera le modéliste de la section PNPC ! |  
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				Le tombereau à 2 portes UIC-ORE type 
				2 est un type très largement répandu en Europe. La DB en fit 
				construire à elle seule 17.300 exemplaires sous le type Omm55 
				entre 1955 et 1962. La SNCF qui s’était doté de nombreux 
				tombereaux à 4 portes UIC-ORE type 1, n’en fit en revanche 
				construire que 900 exemplaires en 1957 dont 385 freinés (Tow). 
				Compte tenu de cette date, les tombereaux construits par Marpent 
				furent dotés d’origine des portes lanterne plats UIC. Pour 
				franciser entièrement le modèle Schnellenkamp issu de l’Omm55, 
				il conviendra de remplacer les tampons par des tampons OCEM/SNCF 
				et les crochets triangulaires d’arrimage aux 4 extrémités du 
				wagon par des crochets à 2 cornes.  La livrée rouge UIC de 1960 
				(qui entre autres choses éliminait tout travail de masquage 
				avant peinture du wagon) impose par ailleurs que les tampons et 
				les toiles de roues soient de couleur rouge UIC comme le reste 
				du wagon. |  
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				Le tombereau à 2 portes UIC-ORE type 
				2 de Schnellenkamp est doté d’une suspension 3 points, de cadres 
				porte-étiquettes (déjà dotés du bon de circulation !) et d’un 
				attelage automatique « mixte ». Cet attelage reprend en effet le 
				type Lenz consacré par la norme NEM mais est complété par une 
				petite corne à l’arrière du crochet  métallique, qui permet d’y 
				accrocher la manille d’un attelage à vis. Cette « mixité » 
				fonctionne parfaitement en exploitation et permet d’atteler 
				ensemble tous types de wagons. Enfin, il est possible d’alléger 
				l’aspect du crochet de l’attelage NEM comme dans la version 
				allégée de Brawa, en supprimant la pointe extrême du crochet 
				destinée au pré-dételage. |  
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				2 wagons (différents) et 4 containers citernes de type OCEM sont 
				réalisés par Christian à partir du kit HaxoModele. Nombreuses 
				modifications/ajouts sur les citernes. Les inscriptions des 
				wagons et des containers sont redessinées sous CorelDraw et 
				imprimées sur les feuilles décalques (boutique FFMF). |  
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				Couvert 10 t classique de la compagnie du Nord de chez Maquette 
				Service, présenté par Pierre. |  
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				Autre couvert Nord de Maquette Service. C'est un 43 m3
				
				doté 
				de 3 essieux. Or ces wagons à 3 essieux sont des types F, pour 
				trains de messagerie. Ils ont la particularité d’avoir un 
				marchepied courant tout le long du wagon. Celui-ci n’en n’a pas. 
				Cette modification sera très rapidement entreprise par Pierre. |  
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				Pierre a 
				pu acquérir dans une succession acquérir des voitures de marque 
				ELETTREN. Ici des CIWL, plus loin des PLM. Ici et ci-dessous, la 
				voiture restaurant. |  
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				Après recherches, 
				Pierre a pu découvrir que la voiture lit était une type S, 
				n°2641 à 2674, construite en 1922 à Leeds. Un détail l’a 
				toutefois interpelé avec cette voiture… Certaines cloisons de 
				compartiments tombaient au milieu des fenêtres. Après ouverture 
				de la toiture, une constatation s’imposait, la voiture avait eu 
				son intérieur monté à l’envers… Les compartiments avaient eu 
				droit aux fenêtres du couloir. Un peu de travail laborieux pour 
				comprendre comment était assemblé l’intérieur, et une petite 
				heure plus tard, l’intérieur remonté correctement 
				faisait coïncider cloisons des compartiments avec les parties 
				pleines de la caisse. La voiture n’en avait que meilleure allure 
				!  |  
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				 De Pierre 
				toujours, deux voitures RAPIDE NORD de fabrication GUILLERMET, 
				acquises récemment et qui devraient se voir lifter à la manière 
				dont Philippe Touron a procédé pour les convertir en NORD. Les 
				deux modèles présents sont une 2ème et une mixte 2ème-Fourgon.  
				Pierre nous promet de les rapporter lorsque l’amélioration aura 
				été réalisée.
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				 Suite des voitures ELETTREN de Pierre. 
				Il nous explique : les 
				photos que j’avais vues m’avaient laisser croire à une première 
				et une seconde type 1907, toujours au catalogue, mais non 
				disponibles chez le fabriquant. Quelle ne fut pas ma surprise de 
				découvrir en fait que la toiture de ces voitures n’étaient pas 
				celle que je connaissais sur le modèle 1907. Après quelques 
				recherches un peu partout, j’ai eu une impression de modernisées 
				PLM type 1926. à 
				partir de 1928 a commencé au PLM la métallisation de cette série 
				de voitures à caisse en bois tôlé, cette métallisation s’est 
				poursuivie après 1938 pour les 5 voitures de la série restantes 
				sur un total de 147 véhicules. Sous cet aspect, ces voitures ont 
				circulé jusqu’à la fin des années 50. Lors de cette 
				métallisation, elles ont perdu leur galbe de bas de caisse tout 
				en gardant leurs châssis apparents, les tirants et tendeurs de 
				châssis ont disparu, de même que les baies des dossiers de part 
				et d’autre des soufflets. Elles ont cependant conservé la 
				disposition asymétrique des baies typiques des voitures de 
				construction PLM, toitures et plates formes prenant un look 
				proche des nouvelles voitures OCEM.
 
				
				à ce propos, ces 
				voitures lors de leur métallisation ont conservé pour partie 
				leurs bogies du type C PLM (Wagons-Lits) qui les équipaient 
				d’origine, d’autres ont récupéré les bogies Pennsylvania (type 
				D) à col de cygne qui équipaient les C10 type 1926 à couloir 
				latéral qui s’en sont vu dépouillées rapidement alors qu’elles 
				étaient neuves au profit des voitures de classe supérieure en 
				métallisation à partir de 1926. Ces voitures appartiennent à la 
				série A7c4i 211 à 230 puis A7c4yi 511 à 530 pour les 
				premières, et B 2 001 à 2 080 puis B8i 2 001 à 2 070, B8yi 5 
				001 à 5 069 pour les secondes… Cette recherche a été 
				passionnante à mener sur les véhicules réels, mais j’ignore 
				totalement quand/comment ELETTREN les a réalisées. Contactés, 
				ils n’ont pas donné réponse en ce début février 2019. |  
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				 DIORAMA : 
				
				réalisé sur un A4 pour être présenté à TRAINSMANIA à Lille, en 
				mai prochain, ce petit diorama est animé par un remplacement de 
				traverse, ayant nécessité la dépose du rail. Un lorry a permis 
				d’approcher les traverses neuves, en attendant l'évacuation des 
				vieilles. Pendant ce temps la garde barrière travaille dans son 
				jardin en ce début d’automne… On peut noter la présence d’un PK 
				43 en impression 3D sur le module.
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				La 141 R 1106 Fulgurex (à partir de 
				1972) n’exige pas des rayons minimaux de 1,80 m ou 6 pieds comme 
				il est courant d’entendre.  Elle est ici posée sur une courbe 
				« parabolique » constituée d’un rail Lenz R10 de rayon 1.649 mm 
				soit 65 pouces suivi de 2 rails R2 de rayon 1.028 mm soit 40 
				pouces. Le raccordement « parabolique » permet à la machine de 
				s’inscrire progressivement et sans décrochement violent dans la 
				courbe serrée.  Même sur un réseau à courbes de (très) grand 
				rayon, il est largement préférable de réduire ce rayon pour 
				intégrer un raccordement parabolique à un tracé en pur 
				demi-cercle : le matériel s’inscrit alors de manière 
				parfaitement fluide dans la courbe. Cette pratique était déjà 
				recommandée pour le Zéro « finescale » dans les années cinquante 
				du siècle alors que d’autres pratiquaient de surcroit le 
				sur-écartement à 33 mm des courbes serrées.  |  
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				La 141 R Fulgurex a encore un peu de 
				jeu latéral dans la courbe R2 de 1.028 mm et la franchit sans 
				couinement. Il est certain que c’est extrême et qu’il convient 
				de ne pas franchir la courbe à toute vitesse afin de soulager 
				les efforts sur l’embiellage. En réalité,  de nombreux modèles 
				laiton des années 70 à 2000 ont la capacité de franchir des 
				courbes serrées, ainsi la 141 P Fulgurex (avec distribution 
				intérieure) est essayée en son temps par Loco Revue sur un 
				réseau avec des courbes de rayon 1.300 mm ! Les modèles Kiss en 
				laiton comme la BR 78 qui a donné la 232 TC de Lematec ou la 141 
				R fuel à roues Boxpok sont quant à eux donnés pour un rayon de 
				800 mm et cela fonctionne comme cela a pu être vérifié sur un 
				réseau d’essai constitué de voie O Scale à ce rayon!  Il est 
				clair que les machines à empattement symétriques (131/141/232 
				etc) sont favorisées et que les machines grandes roues à essieux 
				de type 241 sont en revanche à oublier. Sans être châtelain, il 
				est donc possible d’avoir un réseau bouclé « tour de pièce » 
				avec par exemple des courbes de 1.200 mm (48 pouces ou 4 pieds) 
				sur lequel pourra circuler du matériel « grandes lignes », les 
				voitures étant dotées de l’attelage automatique à coulisse NEM 
				comme l’est par exemple la rame Rheingold de MTH.  |  
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				Photos 
				Christian Toursel |  
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